Pourquoi je suis candidate ?
Forte de mon expérience d’urbaniste et ingénieure mobilité, couplée à mon nouveau rôle de Municipale, j’ai l’intime conviction qu’un mandat complémentaire de députée me permettrait de faire progresser les causes qui me tiennent particulièrement à cœur.
Diplômée de l’EPFL, je m’engage depuis plus de 10 ans pour une mobilité responsable et un aménagement du territoire respectueux de l’environnement. Je me bats également pour une société où chaque individu dispose des mêmes chances et des mêmes droits. La responsabilité individuelle est aussi au cœur de mes préoccupations. Je suis convaincue que les individus doivent être le moteur de notre société et non l’État.
Si j’avais la chance d’être élue au Grand Conseil, je souhaiterais y porter les convictions écologistes, progressistes et libérales qui rythment mon quotidien. J’ai pleine conscience de l’investissement que cela représente et souhaite mettre dès à présent l’énergie qui me caractérise au service de la population de notre canton.
Mes engagements pour les habitant.e.s de notre district
C’est au niveau cantonal que se jouent la planification et le financement de bon nombre de nos infrastructures. Si d’aventure la population du district de Morges m’offrait l’opportunité de rejoindre le législatif cantonal, je m’investirai plus particulièrement pour le développement et le financement de la politique sportive cantonale en faveur du sport associatif mais aussi et surtout pour la promotion de la santé, tout en garantissant l’accès au sport pour toutes et tous.
Les infrastructures sportives nécessitent une planification coordonnée et un financement cantonal sérieux en vue de répondre aux besoins actuels et futurs de notre population croissante, tout en garantissant une utilisation raisonnable et raisonnée de nos ressources naturelles et financières. Pour notre district, je pense ici notamment à une piscine couverte et/ou patinoire à dimensions régionales.
Dans la même optique, je me battrai pour une mobilité responsable en promouvant en premier lieu le développement et le financement des réseaux de mobilité active (piétonne et cyclable, comme par exemple la voie verte) ainsi que le développement de l’offre de transports publics à l’échelle régionale et cantonale (par exemple le RER aux 15 minutes).
Si l’électrification des véhicules automobiles permettra d’améliorer le bilan carbone de ce mode de transport, elle ne résoudra en aucun cas les problèmes liés au trafic.
Les impacts économiques et écologiques négatifs du trafic peuvent et devront se résoudre à court terme. Un développement ambitieux des modes de transports alternatifs ou encore la promotion du télétravail permettront ensemble d’atteindre les objectifs climatiques qui s’imposent désormais à nous.